Chacune de ces sept « régions zonales » supervise plusieurs L'organisation en groupements date de 1967. Elle est dissoute après l'armistice de 1940 et remplacée en zone sud par la Garde, qui est séparée de la gendarmerie. Réunie à la gendarmerie en 1944, elle prend l'appellation de garde républicaine qu'elle gardera jusqu'à ce que, par décret du 20 septembre 1954, elle change de nouveau de nom pour devenir la gendarmerie mobile. et il accompagne traditionnellement le L’escadron comporte une équipe d’acrobatie qui présente des évolutions non conventionnelles et très spectaculaires lors des manifestations publiques. L'escadron reste l'unité de base de la garde républicaine puis de la gendarmerie mobile. L'organisation de la gendarmerie mobile en France est de type décentralisé. ), qui était différent. Ces dernières unités ne se déplacent pas et ne sont pas engagées au maintien de l’ordre comme les escadrons de marche. Liste des escadrons de gendarmerie mobile Page 3/3 Région de gendarmerie nombre de garnisonsnombre de groupements nombre d'EGM nombre de départements effectif moyen d'un escadron Escadron 32/6 1 Mirande 32 110 Escadron 33/6 1 Pamiers 9 110 Escadron 34/6 1 Saint-Gaudens 31 110 Escadron 35/6 1 Tarbes 65 110 Total 1 5 5 4 570 Total 3 16 15 13 Metz

À cette occasion ses compagnies deviennent des escadrons, appellations qui seront conservées lors de son retour dans le giron de la gendarmerie en 1944 sous le nom de garde républicaine (elle ne prendra son nom actuel de gendarmerie mobile qu'en 1954). Mais l’étude de l’historique de l'Arme montre que les compagnies de la gendarmerie départementale étaient, lors de leur formation, des subdivisions d’escadrons (comme c'était le cas sous l’Lors de sa création en 1791, la gendarmerie départementale est organisée en divisions, départements et compagnies.
Il existe également un escadron à Ajaccio, créé le 01/12/1969 et dissous en 1998. Voir l’article : "L’histoire de la gendarmerie" sur le site du Service Historique de la Défense (SHD), notamment Le nombre d'escadrons a varié assez fréquemment au cours des années suivant la deuxième guerre mondiale, augmentant pendant la guerre d'Algérie, puis diminuant après la fin de cette dernière pour ré-augmenter après les événements de mai 1968. Quant à la garde républicaine, toutes ses unités - y compris ses escadrons - portent les couleurs des armes à pied. Pour devenir gendarme mobile, il faut passer le concours de sous-officier de la gendarme nationale et demander une affectation en escadron de gendarmerie mobile (EGM). L’affectation en unité mobile : L’affectation du gendarme dépend de son classement aux épreuves et des offres du moment au sein des Escadrons de Gendarmerie Mobile (EGM). Ainsi, depuis la La Gendarmerie présente ses escadrons de gendarmerie mobile comme des unités projetables vite, loin et longtemps avec une grande autonomie, ces exigences se traduisant à la fois dans l'entrainement, l'organisation et la dotation de ces formationsLorsque la situation nécessite l'emploi coordonné de plusieurs escadrons, ceux-ci sont regroupés en un Groupement Tactique de Gendarmerie ou GTGLe 15 novembre 1921, une circulaire de la Direction de la gendarmerie planifie l’organisation de 24 pelotons en région parisienne (16 à cheval et 8 à pied) et 87 en province (52 à cheval et 35 à pied). En 2005, les légions ont été à nouveau dissoutes et les groupements directement subordonnés à ces mêmes régions zonalesDans le cadre des mesures prises pour renforcer les forces de sécurité suite aux Jusqu'en 2015, la gendarmerie mobile comportait 46 escadrons de réserve de gendarmerie mobile ou ERGM répartis entre les groupements mais ces unités ont été dissoutes lors de la fusion des réserves de la gendarmerie départementale, de la gendarmerie mobile et de la garde républicaine, la Depuis 1991, chaque groupement est identifié par un numéro en chiffres romains (numéro du groupement au sein de la région zonale) suivi du numéro de la région en chiffres arabes à l'exception du Depuis 1991, chaque escadron est identifié par un numéro ; exemples : escadron 15/3 à De 1967 (création des groupements) à 1991, le numéro d'identification comportait un premier chiffre arabe, celui de l'escadron au sein du groupement, suivi d'un second chiffre arabe, celui du groupement (il y en a eu jusqu'à 25). À noter qu’avant 1999, les unités d’autoroutes étaient regroupées au sein d’escadrons d’autoroutes mais ces derniers ont disparu avec la création des EDSR. Rattachée à la direction de la cavalerie, la Garde adopte l'escadron comme unité élémentaire (au lieu de la compagnie). Cet escadron particulier, car il ne se déplace pratiquement jamais en dehors de la Corse, porte successivement les désignations d'EGM 1/24 entre 1969 et 1991 puis d'EGM 31/6 entre 1991 et 1998.

Créés au Quant à la gendarmerie mobile, elle s'appelle à l'origine garde républicaine mobile (GRM) et comprend des compagnies mais, lors de l'armistice de 1940, la GRM est dissoute, remplacée (en zone libre) par la Garde et rattachée à la direction de la cavalerie et du train de l'armée. Cette appellation a remplacé celles de Sous-Groupement Opérationnel de maintien de l'ordre (SGOMO) qui était auparavant employée.Un peloton motocycliste avait été créé au sein du groupe spécial autonome de la garde républicaine mobile de Chaque peloton, à l’effectif de 60 en région parisienne et 40 en province, est commandé par un lieutenant ou un sous-lieutenant et doit être capable d’aligner un effectif de 30 hommes au maintien de l’ordre. Dans ses missions quotidiennes, elle participe à la sécurité publique générale aux côtés de la gendarmerie départementale. La garde républicaine mobile est organisée en légions, groupes et compagnies, chaque compagnie comptant généralement trois pelotons. Les déplacements des unités s’effectuent normalement en camionnettes ou en train. dans les expressions « la Gendarmerie » ou « la Gendarmerie nationale », prend une majuscule comme cela est préconisé dans l'article sur les Les escadrons départementaux de sécurité routière (EDSR) de la gendarmerie départementale comportent également des brigades.Dans l'armée (de terre) de l'époque, un escadron était une formation tactique regroupant deux compagnies sous le commandement du plus ancien de leurs deux capitaines. Enfin, elle effectue un certain nombre de missions militaires, tant sur le territoire national qu'en opérations extérieures (OPEX) au sein des forces armées frança…