Mais l'argument semble recevable.La nuance est tellement subtile  que je serais surpris que la majorité des abéciens sache d'emblée si, dans les deux phrases citées sans co-texte  : «il LES a laisséS torturer» et «il LES a laissé torturer»,  le pronom «les» désigne les victimes ou les bourreaux.« il les a laissés torturer » et « il les a laissé torturer »Ces petites phrases, prises isolément, forment d'amusantes énigmes.

Mais rien d'autre. Ainsi que le note le Toutefois - et c'est là le hic! Et donc accord à l'actif, mais pas au passif ici. Je voudrais bien voir un texte Ça, c'est un point très important. Exemple: «Voilà les 1000 pages demandées et l'analyse que j'en ai faite.». Il ne devrait donc plus y avoir de différence entre « il les a laissés torturer » et « il les a laissé torturer » ? Conjugaison du verbe faire - Retrouvez toutes les formes de conjugaison du verbe faire gratuitement sur Le Monde.fr. La promotion que vous m'avez faite miroiter.? De très nombreux exemples de phrases traduites contenant "l'offre que je vous ai faite" – Dictionnaire anglais-français et moteur de recherche de traductions anglaises. Nuance subtile, certes, mais importante, non ?Pardon, m’sieu, mais il est ici question, comme l'a écrit un peu plus haut pascalmarty, dePourquoi « bienvenue » ? Il n'est nullement question d'actif ou de passif. Il ne devrait donc plus y avoir de différence entre « il les a laissés torturer » et « il les a laissé torturer » ?

Et que le français emploie l'infinitif à tout propos ne clarifie pas la compréhension "logique". Instituer l'invariabilité pour le semi-auxiliaire Dans le premier cas, on pourrait dire que "jouer" a un sens passif (les airs qui sont joués), tandis que dans le second, le sens est actif (la pianiste joue).

Imparfait. extension bienvenue de l'invariabilité au verbe laisserPourquoi « bienvenue » ? J’ai fait l’acquisition l’autre jour d’un petit bouquin dont j’attendais beaucoup : Ces petites phrases, prises isolément, forment d'amusantes énigmes. Certes non!

Nuance subtile, certes, mais importante, non ?Oups, je botte en touche, c'est une citation de Bookish. La promotion que vous m'avez fait miroiter. WWW.

Au-delà du lit de lait de l'Aude élue, un énorme orme étendait sa sombre ombre. Il n'y a donc aucun paradoxe. Maigret, 1948. Et donc accord à l'actif, mais pas au passif ici. Quel paradoxe !Dans le premier cas, on pourrait dire que "jouer" a un sens passif (les airs qui sont joués), tandis que dans le second, le sens est actif (la pianiste joue). Même si je sais qu'au passé composé avec le verbe avoir, on accorde le participe passé au COD quand il est placé avant le verbe, j'ai eu un énorme doute en l'écrivant.Si Bookish ne nous a pas menti il y a quasiment un an jour pour jour, alors on peut répéter après lui la leçon de Grevisse et se dire avec gratitude, les yeux humides de reconnaissance, qu'il n'avait pas contribué en vain : « Pour les dévots de Momo (Grevisse), la chose était entendue depuis longtemps : § 951 [14e éd.] Je maintiens au niveau du sens (commun). que je fisse que tu fisses qu'il fît que nous fissions que vous fissiez qu'ils fissent. Synonyme du verbe faire. Si ce dernier peut être retiré alors il ne peut être considéré comme un COD et ainsi, essentiel à votre phrase. Quel paradoxe !Je trouve moi aussi que les notions de passif et d'actif introduites ici ne font que compliquer inutilement les choses, puisque nous avons affaire à l'auxiliaire avoir.Remise en l'état – que j'espère durable – du forum, suite aux modifications faites par l'hébergeur.Dernière modification par Prahl (19-07-2010 18:43:52)Dernière modification par pascalmarty (20-07-2010 19:57:59)Dernière modification par Pierre Enckell (21-07-2010 00:39:27)Dernière modification par pascalmarty (21-07-2010 01:19:51) Quel paradoxe !Ben non, on ne peut rien dire de tout ça.

D'ailleurs, dans pas mal de langues on traduirait selon ces directions, passive et active. (Et c'est plus compliqué que ce que pressentait Prahl…)  Dans le premier cas, on pourrait dire que "jouer" a un sens passif (les airs qui sont joués), tandis que dans le second, le sens est actif (la pianiste joue).

Puis en me relisant, je me suis dit zut, le COD est avant l'auxiliaire avoir, du coup je dois accorder et donc mettre un "e". Il ne devrait donc plus y avoir de différence entre « il les a laissés torturer » et « il les a laissé torturer » ? )».Beaucoup de blabla embrouillé et inutile pour n'absolument pas expliquer POURQUOI on n'accorde pas le participe passé après "en" lorsqu'il est bien le COD. La phrase «Voilà les 1000 pages demandées et l'analyse Néanmoins, le Trésor de la langue française nous indique que l'usage peut parfois être fébrile lorsque «en» se retrouve «en relation avec un adverbe de quantité (beaucoup, combien, etc. Plus-que-parfait. Il n'est nullement question d'actif ou de passif.

Verbe faire - La conjugaison à tous les temps du verbe faire au masculin à la voix active avec l'auxiliaire avoir.