Les sentiments éprouvés au cours de la phobie d’impulsion entretiennent le patient dans un état d’alerte et de désarroi permanent. Toutefois, il existe une multitude de variantes telle que la peur de commettre un acte scandaleux ou dangereux pour soi-même.

Par ailleurs, la littérature sur le trouble est très rare et date le plus souvent des années 70. Aucun cas de passage à l’acte n’a été rapporté. Bonjour, j'ai un serieux problème depuis 2 jours. Il s’agit le plus souvent :Le doute est au cœur de la phobie d’impulsion. Par exemple, agresser quelqu'un quand on a un couteau en main, pousser un voyageur sous le train si l'on se trouve sur un quai…

"J'ai été diagnostiquée autiste Asperger à 39 ans !" Toutefois ces derniers demeurent malgré la démonstration des évidences et les réalités patentes. Selon le spécialiste, il existe deux configurations possibles :Ces peurs constituent les phobies d’impulsion les plus classiques. La phobie d’impulsion peut être vue comme un trouble obsessionnel lié aux méta-cognitions. Quels sont les effets psychologiques du confinement et de l'isolement ? La phobie d'impulsion est la peur d'agir de manière incontrôlée envers quelqu'un ou envers soi-même. Tous les affects sont concentrés autour de ces pensées au détriment d’autres préoccupations et enjeux prépondérants du quotidien. La thérapie méta-cognitive et la thérapie d’exposition permettent d’élaborer une thérapie adaptée avec des bases théoriques solides. La phobie d'impulsion est un symptôme psychiatrique caractérisé par la crainte obsédante de commettre un acte agressif ou moralement répréhensible. Vous vivez avec la peur constante de tuer des gens dans la rue ? Elle se rencontre dans le cadre du Trouble obsessionnel compulsif ou TOC (appelé alors TOC d'agressivité). Cet article s’adresse aux praticiens qui pourraient se sentir démunis face à ce trouble.La phobie d’impulsion, aussi appelée « phobie de commettre un acte impulsif » se caractérise par la peur de commettre un acte aux conséquences jugées très dommageables par la personne victime du trouble, sachant qu’il n’y a aucune intention de commettre cet acte.

(1) Des réactions anxieuses sont fréquemment déclenchées par une pensée intrusive verbale et éventuellement visuelle telle que « et si soudainement j’étouffais mon enfant » (2), ou « et si soudainement je tuais ma copine avec ce couteau ».1) Les pensées/jugements/croyances sur les pensées.Il est important de le distinguer des troubles psychotiques où la personne entend des voix extérieures, des dépressions mélancoliques à allure psychotique, de la peur de recommencer des passages à l’acte antérieurs, ou encore de la peur de perdre le contrôle dans des conditions particulières comme l’abus de substance par exemple. Elles s’imposent au patient qui entre en lutte contre ces dernières. la les phobie d'impulsion a pris de dessus sur moi,,parfois je pense que j'aime mes idées et je veux faire du mal au gens j'ai commencé par penser de devenir folle, je me dit et si je vais parler tt seule dans le bus ou bien si je vais prononcer des mots grave puis j Comme pour les autres TOC, la phobie d’impulsion se solde par Les sujets et l’entourage ont souvent du mal à les intercepter dans les phobies d’impulsion. C’est maintenant la deuxième fois depuis le début de ma pratique qu’un patient me consulte parce qu’il a peur de se faire du mal ou peur de faire du mal à l’un de ses proches. Le sujet du film (la phobie d'impulsion) est introduit par une séquence préambule qui rappelle un cours magistral. Cela renvoie également l’information que cette pensée n’est pas dangereuse.La phobie d’impulsion peut être vue comme un trouble obsessionnel lié aux méta-cognitions. La thérapie méta-cognitive et la thérapie d’exposition permettent d’élaborer une thérapie adaptée avec des bases théoriques solides. Quant aux propositions de traitement, elles se résument généralement à un renforcement narcissique du patient. Ma voix intérieure insulte la personne que j'aime le plus au monde. Il y a une capacité à créer un doute malgré la certitude. Il s’agit donc d’un trouble clinique dont le diagnostic différentiel doit avoir été réalisé minutieusement.Une piste d’intervention inspirée de la thérapie méta-cognitive de Wells (3) que j’ai appliquée avec succès dans mes consultations a consisté à aborder par le dialogue socratique et des exercices d’expérimentation, quelles sont la signification et les conséquences des pensées qui sont à la base de la réaction anxieuse.Une bonne façon d’expérimenter les techniques de régulation des ruminations consiste à prescrire de ruminer plusieurs fois par semaine pendant une minute sur une pensée vécue comme problématique (exemple : et si je sautais par la fenêtre) puis de réguler la pensée.