J’ai vu 2 de mes collègues enceintes se forcer à venir travailler en pleurant à cause des contractions. On avait un déménagement du cabinet prévu un mois avant mon congé mat et il avait convenu que je ne serai pas là pour le faire… j’ai été suivie par une sage femme toute ma grossesse, on a tjs discuté de ça à chaque consultation, et j’ai eu de la chance car je n’ai pas eu à m’arrêter avant la date butoir.

J’ai moi-même eu une mauvaise image de moi, pensant que j’étais une mauvaise personne parce que je demandais à être arrêté, n’en pouvant plus.

J’ai des contractions depuis un bon moment, elles sont supportables mais présentes chaque soir, je me sens fatiguée et ça commence à tirer. C’est moi qui corrige et édite vos témoignages. ), donc je n’avais pas de raison de ne pas retravailler, car en France, on ne fait pas de préventif, les arrêts,c’est uniquement lorsqu’on on est malade (avec le fameux « la grossesse n’est pas une maladie »). Pour l’instant pas d’alerte au niveau du col, je suis suivie par la même sage femme que pour ma 1ère grossesse. Dans ma campagne de aucun médecins qui prend de nouveau patient et quel médecin prendrai l’initiative de me mettre à l’arrêt sans me connaître de peur de se mettre la sécurité sociale à dos….

Du coup face a la sécu votre médecin traitant a un argument plus lourd que son propre jugement. Plusieurs fois au cours des rdv, je préviens ma sage femme que je commence à fatiguer, que j’ai des contractions, elle est à l’écoute, très rassurante, je l’adore et je suis persuadée que vu les péripéties de ma 1ere grossesse, on ne fera pas les mêmes erreurs…Pourtant au fond de moi je sens que c’est le bon moment pour m’arrêter en prévention pour éviter de revivre les difficultés de ma 1ere grossesse mais je n’arrive pas à insister et à réclamer, ça ne me parait pas normal que ce soit à moi d’exiger ça.Ça me gêne qu’on ne prenne pas en considération les conditions de travail et de trajets… on sait pertinemment qu’avec ce genre de travail c’est quasiment impossible et même risqué de tenir jusqu’au congé maternité et pourtant on ne peut pas faire de prévention… ça me désole… alors c’est toujours pareil, on attend qu’il se passe quelque chose pour réagir… décevant ! J’ai eu plus de chance que vous car je suis tomber rapidement sur un médecin qui comme votre sage femme ne prend pas en compte la sécurité social et qui m’a arrêter en prévention.Mais auparavant j’ai vu 2 professionnels de santé, le premier m’a arrêter 3 jours et mon médecin traitant 15jours. J’arrive à contacter une sage femme près de la maternité où je suis suivie, qui me confirme que ce n’est pas recommandé de reprendre le travail.
Suite mon insistance (ma soeur ayant déjà fait des décollements ayant abouti à des fausses couches), il a bien voulu m’arrêter une semaine. En poursuivant votre navigation, vous en acceptez l'utilisation.

Ce blog est mon travail à plein temps depuis 2012.

De plus, l’incompatibilité de mon travail et de ma grossesse, c’était l’affaire de la médecine du travail qui devait me déclarer inapte temporairement.

Le jour de ma reprise au travail, douleurs dans le bas ventre, je n’arrivais pas à travailler, si bien que ma cheffe de service m’a demandé d’aller aux urgences, ce que j’ai fait.
soit il peux estimer que votre état est incompatible avec votre poste et faire un courrier. Ménagez vous !je suis enceinte et je comprends votre situation. A la suite d’un déplacement obligatoire, j’ai eu des petites saignements.

Du coup elle m’a fait 15 jours d’arret (Elles ne peuvent pas faire plus c’est la loi, car elles ne sont censées suivre que des grossesses simples, qui ne nécessitent donc pas de prise en charge lourde) et j’ai ensuite pris rv avec mon médecin traitant que j’ai la chance de connaître depuis longtemps, et il m’a fait mon congé patho.Je suis enseignante en maternelle, donc toujours debout, ou accroupie à hauteur des enfants, assise sur une mini chaise qui casse le dos dans le meilleur des cas. Bon ok ne vous inquiétez pas je vous écris pas pour me plaindre d’un rhume…Petit retour sur mon histoire… mon mari C. et moi sommes ensemble depuis bientôt 11 ans, une belle histoire pleine d’amour et de complicité, qui évolue au fil des années avec de beaux projets. Je cogite toute la journée puisque je n’ai que ça à faire et j’ai peur de vivre un Plusieurs fois on me demande ce que je fais comme travail, où je travaille et quand je raconte on me fait comprendre que je me retrouve dans cette situation à cause de ce travail et de ces trajets. Mais elle est tout aussi bloquée que mon médecin traitant, elle ne peut faire des arrêts que de 2 semaines maximum et « Je comprends bien tout ça, je suis moi même contre ces gens qui profitent du système à se faire arrêter à tout va… mais finalement j’ai l’impression à ce moment précis d’en faire partie. je suis Mandine, j’ai 30 ans, je suis mariée depuis bientôt 3 ans, maman d’un petit bonhomme de bientôt 2 ans et enceinte de bébé 2 depuis 4 mois et demi.Au moment où je vous écris, il est 4h01 très exactement, et je ne dors pas… bientôt une semaine que je traîne une crève qui ne passe pas, je suis épuisée… et là à cet instant précis, j’en ai marre ! Mon médecin traitant m’avais mis en arrêt 15 jours pour fatigue mais qu’il ne pouvait pas faire davantage car il n’y avait pas de raison particulière à un arrêt prolongé, hors j’étais tellement fatigué que je n’ai jamais autant pleuré devant une tiers personne quant il m’a indiqué son refus et, m’as gentiment dit : » je ne peux pas jauger de votre état d’esprit, c’est d’un psychiatre que vous aurez besoin si vous souhaitez un autre arrêt ». Si la prescription est établie pour une durée supérieure à 14 jours, seuls les 14 premiers jours seront indemnisés en maternité. Suite aux conseils de la sage femme, je me suis encore une fois rendue aux urgences, qui m’ont arrêté un seconde fois, car je refaisais un décollement. Ma gyneco n’a pas cherché en quelques secondes, j’avais un arrêt de 1 mois mais, celui-ci devait être renouvelé par mon médecin traitant et là, on recommence à tourner en rond… Je ne suis pas encore à la fin de cet arrêt et ne préfère pas y penser mais j’admets que mon angoisse revient progressivement parce que je n’ai pas ‘échappatoire. Votre employeur ne pourra pas vous en refuser puisque cela est dans vos droits.